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09h
50) Parfois, il s’agit d’une phrase attrapée au vol. Une suite d’à peine quelques mots illustrant une situation et ouvrant, du même coup, les portes d’une prise de conscience.
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11h
30) L’air de rien, je viens d’effacer mon début de chronique. Je commençais en me demandant si ce que j’ai en tête est d’ordre générationnel. En relisant mon ex-première phrase, je me suis dit « pas sûr... peut-être qu’il n’y a pas que les fossés générationnels, dans la vie ! »
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15h
30) Les temps sont durs. Moralement, à tout le moins. Pour peu qu’on se préoccupe de notre entourage immédiat et plus large, il y a plusieurs raisons d’entretenir une inquiétude, une forme de torpeur plus ou moins envahissante.
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10h
30) Je vous imagine terminer la phrase. « Tant qu’il y a de
la vie, il y a de l’espoir ! »
Je n’aime pas ces phrases toutes faites qui veulent dire
tout et rien en même temps. Des phrases creuses.